Accord d’amitié et de coopération entre la Préfecture de Kyoto et la Région Languedoc-Roussillon

Le Président de la Région Languedoc-Roussillon et Jean-Claude GAYSSOT, son Vice-Président délégué aux affaires internationales et à l’Europe, ont accueilli Messieurs Keiji YAMADA, Gouverneur de la Préfecture de Kyoto, et Yoshihiro UEDA, Président de l’Assemblée Préfectorale de Kyoto, accompagnés d’une délégation composée de 17 personnes dont des députés préfectoraux et des fonctionnaires.

 

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photo : laregion.fr

A cette occasion, un accord de coopération portant sur l’enseignement supérieur, la recherche, l’innovation, l’éducation, l’économie et les partenariats entre les collectivités territoriales et les associations a été signé le mercredi 10 juin 2015. Le même jour, en milieu d’après-midi, a également été inauguré le tout nouveau dojo du lycée Jean Mermoz de Montpellier.

Pour le Président de la Région :

« C’est un honneur tout particulier d’accueillir aujourd’hui, en Languedoc-Roussillon, la délégation de la Préfecture de Kyoto, le Gouverneur, Keiji YAMADA et le Président de l’Assemblée Préfectorale, Yoshihiro UEDA. Un honneur, car il s’agit là de concrétiser de nombreuses années de travail et de rapprochement entre nos deux collectivités. Depuis 2011, nos équipes respectives travaillent d’arrache-pied sur cet accord d’amitié et de coopération.

Il nous permet de créer des synergies entre nos collectivités, mais aussi élargies au monde de l’enseignement, du développement économique, de la recherche et de la santé. C’est cette capacité à mettre en dialogue, à réunir autour d’une seule et même table différents interlocuteurs, qui est aujourd’hui concrétisée. Et nous en tirerons tous un bénéfice : collectivités, universités, entreprises privées, centres de recherche, hôpitaux, associations, lycéens. Il s’agit là de la première pierre angulaire de l’édifice que la Préfecture de Kyoto et la Région Languedoc-Roussillon bâtissent ensemble.

Le bénéfice de cet accord se matérialisera à long terme pour nos populations, avec des échanges culturels et de bonnes pratiques plus fréquents et systématiques. »

Source : La Région